Situé sur un pont qui surplombe des lignes de chemins de fer, cet affichage jouait sur l’idée du mouvement, de l’évasion, de l’ailleurs. La sélection de ces photographies rentrait en corrélation avec la structure du pont et le paysage urbain tout en y apportant des images de pays éloignés.
Cette action a été renouvelée sur trois date à quelques mois d’intervalle, le temps faisait disparaître progressivement les photographies.
Ces petites actions au cœur de l’urbain permettent d’être au plus près des habitants de la citée. Le format carte postale n’était visible que par les piétons, les automobilistes apercevant la présence d’image mais ne pouvait pas s’arrêter. Le message inscrit sur le dos des cartes postales faisait référence à la photographie apportant des informations sur le lieu d’où elle provenait renforçant l’idée du voyage et du déplacement.
Installation photographique dans l’espace urbain /